Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Hémorragie militante au PS et l’UMP

05/12/2009 15:47

Hémorragie militante au PS et l’UMP


Les côtes de popularité de Nicolas Sarkozy et de François Fillon baissent toutes les deux de trois points en décembre, selon un sondage publié dans l’édition de samedi du « Figaro Magazine ».
Les sondés sont ainsi 34% à déclarer faire confiance au président de la République, contre 37% en novembre, et 36% à faire confiance au Premier ministre (39% le mois dernier), selon ce sondage TNS-Sofres. - sondage réalisé du 27 au 30 novembre au domicile des personnes interrogées sur un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas
  • ps_1234381795Le parti socialiste :
  • a perdu 34.000 adhérents depuis 2007 et l’UMP, près de 100.000.

    Il est loin le temps de la présidentielle, où le PS et l’UMP faisaient le plein de militants. Les socialistes étaient 234.000 quand ils ont désigné Ségolène royal à la candidature. Depuis, 34.000 ont déserté, notamment des adhérents à 20 euros, démobilisés juste après les primaires.

     

  • sarkozy_umpA l’UMP :
  •  la chute est encore plus vertigineuse. Les adhérents sont 245.000 aujourd’hui. C’est plus de 100.000 de moins qu’en 2007. L’ouverture puis les polémiques autour de Frédéric Mitterrand et Jean Sarkozy ont fait fuir certains militants, confie un responsable du parti.
    Alors l’objectif des 500.000 adhérents fixé pour 2012 semble irréaliste. Sauf pour le porte-parole de l’UMP, Dominique Paillé. PS et UMP pensent en tout cas avoir trouvé la parade à l’hémorragie militante. Ils vont chacun lancer, dans les semaines qui viennent, leur propre réseau social sur internet






    Silence, on transpose la directive Bolkestein

    05/12/2009 15:40

    Silence, on transpose la directive Bolkestein


     la suite des fortes mobilisations contre la directive services dite Bolkestein, on aurait pu croire que le texte ne présentait plus de problème. Erreur : on y trouve le principe de « libre prestation de services », ce qui n’est pas étonnant puisqu’il est inscrit dans le traité de Lisbonne, et qu’il l’était dans les traités antérieurs. Par ailleurs, cette directive est transposée au moment où entre en application le règlement (CE) N° 593/2008 du 17 juin 2008 sur la loi applicable aux obligations contractuelles : celui-ci prévoit que la loi du domicile du prestataire de service s’appliquera quand aucune autre ne sera choisie, ce qui entraînera un affaiblissement du droit des consommateurs.

    La directive de libéralisation des services, dite Bolkestein, du nom de son créateur, est en cours de transposition en France. Sans bruit ni volonté gouvernementale de mettre en débat cette étape importante.

    Pour comprendre l’importance de ce qui se prépare en matière de libéralisation des services, il est nécessaire de rappeler comment la Commission européenne définit le contenu de la directive qui porte le nom de l’ultralibéral Fritz Bolkestein, son initiateur. L’objectif de la directive sur les services est de réaliser un marché intérieur en supprimant les barrières juridiques et administratives, considérées comme des obstacles à la libre circulation des prestations de services entre Etats membres et leur mise en concurrence. Cette libéralisation qui concerne 75 % des emplois dans l’Union européenne (UE) et 66 % de son PIB, selon la Commission qui a fixé la date butoir du 28 décembre pour la transposition de cette directive dans les législations nationales.

    La directive Bolkestein est donc de retour. Ni morte, ni enterrée, comme on a pu l’entendre en 2005 de la part de Jacques Chirac encore président de la République. Elle est même d’une brûlante actualité : une courte passe d’armes entre la Confédération européenne des syndicats (CES) et la présidence suédoise de l’Union européenne, passée inaperçue en France, eut lieu le 23 septembre, la veille du Conseil européen sur la compétitivité. La présidence suédoise y a déclaré que « la directive sur les services peut permettre à l’Europe de sortir plus rapidement de la crise économique. » Ce à quoi la CES a immédiatement rétorqué : « La Présidence semble de plus en plus coupée de la réalité de la pire crise économique depuis la Grande Dépression […]. Si vous souhaitez lutter contre la crise, vous devez investir dans un vaste plan de relance européen et mettre fin à la domination des principes de marché à court terme », ainsi qu’aux « obsessions idéologiques » de la directive sur les services, a aussi persiflé la CES.

    Cette charge inhabituelle de la part de la CES met en évidence l’étape cruciale actuellement en cours, particulièrement en France. Dans le plus grand silence. Rien ne filtre des négociations secteur par secteur, ou peu de choses. L’étonnant mutisme gouvernemental est expliqué dans un rapport sur l’état de la transposition de la directive sur les services, présenté le 17 juin par le sénateur UMP Jean Bizet, quelques jours après les élections européennes. On y apprend que le gouvernement a abandonné l’idée d’un projet de loi-cadre pour transposer la directive services, en raison « des considérations politiques tenant à la forte sensibilité des implications de la “directive services”, sur les professions réglementées par exemple. Une loi-cadre de transposition pourrait en effet servir d’“épouvantail” à tous ceux qui seraient tentés d’instrumentaliser un exercice essentiellement technique à des fins électorales. Elle ne doit pas constituer un prétexte à la “cristallisation” des mécontentements de tous ordres, d’autant plus nombreux en période de crise ». En clair, pas de grain à moudre pour les altermondialistes…

    Pas de débat politique, ni de campagne d’information générale ne sont programmés par le gouvernement. Seule une communication serait envisagée en direction des professionnels. « Elle serait réalisée en relation étroite avec le Medef, au second semestre 2009 », explique brièvement le rapport Bizet. Ainsi, le gouvernement et une partie de la classe politique, droite et gauche confondue, ne souhaitent pas que ressurgisse la controverse autour de cette directive et de son « principe du pays d’origine ». Celle-ci avait largement contribué à la victoire du « non », en 2005, lors du référendum sur le Traité constitutionnel européen, renommé Traité de Lisbonne et adopté depuis.

    Un nouveau débat sur cette directive – certes revue et corrigée en 2006 par le Parlement européen – s’avère pourtant indispensable, car elle a conservé l’essentiel de sa philosophie et de sa dangerosité. La Commission a de plus fait en sorte que ce qui n’y figurait plus, tel le principe du pays d’origine, soit rapidement transposable dans un autre texte. Rafraîchissons les mémoires : la directive sur les services inclut les services fournis aux entreprises et aux consommateurs, et surtout les services publics, nommés par la Commission « services d’intérêt économique général » (transports, services postaux, approvisionnement en eau, électricité, traitement des déchets, etc.).

    L’exclusion des services de santé et des services sociaux (SSIG, selon la terminologie communautaire) n’est que provisoire. « Il n’est pas inenvisageable que certains secteurs aujourd’hui exclus du champ de la directive y soient réintégrés à l’avenir, à la demande des professionnels eux-mêmes », prévient le rapport Bizet. Car les règles du jeu fixées par la directive sur les services peuvent changer en cours de route : 2010, première année d’application, sera l’occasion de procéder à d’éventuels « ajustements ». Surtout, le 28 décembre 2011, et par la suite tous les trois ans, la Commission présentera un rapport sur l’application de la directive, « accompagné, le cas échéant, de propositions de modifications et de mesures supplémentaires concernant les questions exclues du champ d’application de la directive ».

    Autre subtilité, la notion de « principe du pays d’origine » a certes disparu de la directive Bolkestein pour une autre formulation, très ambiguë : le principe de « libre prestation de services ». Cette libre prestation de service est accompagnée d’un règlement européen adopté en 2008, qui doit s’appliquer à tous les contrats conclus après le 17 décembre, dans lequel le principe de base est que les parties contractantes sont libres de choisir la loi applicable au contrat. Ce règlement qui remplacera la Convention de Rome de 1980 s’appliquera directement aux Etats membres. Le dispositif est proche du principe du pays d’origine, si l’on en croit le réseau européen de soutien aux entreprises, Enterprise Europe Network, créé par la Commission européenne. Mais les citoyens n’ont pas encore été informés de ces nouveautés.

    Thierry Brun

    http://www.gaullisme.fr/?p=3691






    La France, une identité démocratique : Les textes fondateurs

    05/12/2009 15:18

    La France, une identité démocratique : Les textes fondateurs


    La France , une identité démocratique : Les textes fondateurs 

    De Vincent Duclert 

    Broché: 460 pages 

    Editeur : Seuil (20 mars 2008) 

    Collection : H.C. ESSAIS 

    Langue : Français 

    ISBN-10: 2020976005 

    ISBN-13: 978-2020976008

    Présentation de l'éditeur

    Depuis plusieurs mois, il se dit que l'identité française serait exclusivement nationale. Et depuis le 31 mai 2007, un ministère se consacre à l'Immigration, à l'Intégration, à l'Identité nationale et au Codéveloppement. Pourtant, c'est aussi une identité démocratique que la France s'est donnée au cours des siècles. Non pas exclusive de la nation, mais la nourrissant de ses valeurs politiques de liberté, de tolérance et de justice. Voici une défense et illustration de la démocratie à la française, qui fait entendre la voix de ceux qui en ont été les inspirateurs ou les maîtres d'œuvre : de Michelet à de Gaulle, d'Olympe de Gouges à Simone Weil, de Victor Hugo à Aragon, de Zola à Éluard, de Péguy à Jean Moulin, de Rousseau à Clemenceau, de Mauriac à Mendès France... Une plongée salutaire dans les textes fondateurs d'une identité aujourd'hui contestée 

    Biographie de l'auteur

    Vincent Duclert est professeur agrégé à l'École des hautes études en sciences sociales. Il a consacré une biographie monumentale au Capitaine Dreyfus (Fayard) et codirigé le Dictionnaire critique de la République (Flammarion)

    Résumé

    L’auteur explique les enjeux du débat sur l’identité française avant de présenter des textes qui ont fondé l’identité démocratique française : Michelet, Hugo, Zola, Péguy, De Gaulle, Moulin, Rousseau, Jaurès. Professeur à l’EHESS, V. Duclert entend offrir une réplique au discours ambiant sur l’identité nationale ainsi qu’une défense et illustration de la démocratie. 






    Mondialisation : la grande fossoyeuse de l’intérêt général

    05/12/2009 07:01

    Mondialisation : la grande fossoyeuse de l’intérêt général


    Commerce mondial : un Nobel d’économie prône un protectionnisme "raisonné"
    04/12/2009 15h23 GMT - ECONOMIE-COMMERCE-OMC - Nouvelles de France - AFP
    PARIS, 4 décembre 2009 (AFP) - Maurice Allais, seul lauréat français du prix Nobel d’économie, prône un "protectionnisme raisonné" dans le commerce mondial et qualifie de "méprise monumentale" la libéralisation des échanges prônée par l’OMC, dans une tribune à paraître samedi dans Marianne.
    La dénonciation du protectionnisme est "absurde chaque fois qu’elle est exprimée sans nuances", estime cet ancien membre du CNRS primé en 1988, jugeant qu’il existe des protectionnismes "néfastes tandis que d’autres sont entièrement justifiés".
    Si le protectionnisme entre pays à salaires comparables "n’est pas souhaitable en général", celui entre "pays de niveaux de vie très différents est non seulement justifié mais absolument nécessaire", assure M. Allais.
    Selon lui, la concurrence n’est ainsi "pas viable" face à des pays où les coûts de fabrication sont bien plus faibles, en Chine, en Inde mais aussi "au sein même de l’Europe".
    M. Allais propose un système alternatif : créer des ensembles régionaux plus homogènes, unissant des pays aux conditions sociales similaires, au sein desquels une "saine et réelle" concurrence s’exercerait mais qui pourraient se "protéger de manière raisonnable" contre les coûts de production pratiqués à l’extérieur de ces zones.
    "L’absence d’une telle protection apportera (...) la destruction de toutes les industries de l’Europe de l’Ouest et celle des pays développés" et provoquera une croissance "dramatique" du chômage, prédit l’économiste.
    Selon lui, Pascal Lamy, directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), commet "une méprise monumentale" en demandant l’accélération du processus de libéralisation des échanges. "Il faut de toute urgence délocaliser Pascal Lamy", ironise M. Allais.
    Les 153 membres de l’OMC, qui étaient réunis cette semaine à Genève, ont réaffirmé leur souhait de conclure en 2010 les négociations dites du cycle de Doha sur la libéralisation des échanges.
    Ré-internationalisation contre globalisation
    Par Laurent Pinsolle, porte-partole de DLR
    Les dix dernières années ont démontré la faillite de la globalisation néolibérale. Pourtant, certains parient que le salut viendra du cadre global. Et si, tout simplement, ce cadre n’était pas adapté à une quelconque expression de l’intérêt général et que seul le cadre national le permettait ?
    Quels intérêts sert la globalisation néolibérale ?
    Un examen froid de l’évolution des dernières décennies montre qu’il y a deux grands gagnants à la globalisation. Les premiers sont le 1 % des ménages les plus riches, dont les revenus représentent près de 20% des revenus totaux aux Etats-Unis. Plus fort, une étude montre que les revenus des 0.1% des ménages les plus riches y ont progressé quatre fois plus vite que la moyenne (8% du total). Les autres gagnants sont les actionnaires qui extraient une part croissante des richesses.
    Certains crient volontiers à une conspiration mondiale qui viserait à asservir 99% de la planète. Je n’y crois pas. Joseph Stiglitz lui-même, pourtant très dur vis-à-vis du FMI, affirme qu’ils agissent en pensant sincèrement servir l’intérêt général. Pour lui, la racine du problème vient du fait de confier des pouvoirs politiques à des non politiques (FMI, banques centrales…). Coupés de la réalité et sans système de pensée alternatif, ils croient réellement que la libéralisation est porteuse de progrès.
    La nation, cadre indépassable de l’intérêt général
    Frédéric Lordon souligne bien qu’ « en appeler au gouvernement mondial est le plus sûr moyen d’avoir la paix – entendre : pas de gouvernement du tout » et que « la mondialisation a précisément eu pour effet de redéployer les marchés à l’échelle mondiale, c’est-à-dire dans un environnement de faible densité institutionnelle ». En clair, le processus de globalisation est intrinsèquement lié à des politiques d’inspiration néolibérale puisqu’elle organise l’absence de prise du politique.
    En fait, de plus en plus d’intellectuels, y compris de gauche, reconnaissent aujourd’hui que seul le cadre national permet une expression de l’intérêt général. Les nations sont elles-mêmes structurellement l’expression d’un bien commun, où une minorité accepte le choix démocratique d’une majorité lors des élections, et où la solidarité entre membres de la communauté nationale s’exprime de multiples manières, notamment à travers le système de sécurité sociale ou les services publics.
    Vers une re-internationalisation
    Je me permets d’emprunter ce terme à Frédéric Lordon, qui l’utilise dans son dernier livre car il me semble parfaitement résumer ce que nous devons faire pour combattre l’anarchie néolibérale. Le progrès humain doit redevenir le but de nos sociétés au lieu de cette volonté de liberté tellement absolue qu’elle vire à l’anarchie, à la loi du plus fort et donc à un nivellement par le bas salarial, social, environnemental, démocratique et républicain. Au 21ème siècle, plus que jamais, l’homme aura besoin des nations.
    Bien sûr, les défenseurs de la globalisation diront que les nations sont responsables des guerres et ferons un parallèle avec l’Albanie. Mais ne sont-ils pas les promoteurs d’une guerre économique de plus en plus violente (délocalisations, crises, suicides) ? Le cadre plus national des politiques des Trente Glorieuses était plus pacifique... Enfin, cela ne signifie pas fermeture à l’autre, bien au contraire. C’est parce que nous serons bien dans notre pays que nous serons d’autant plus ouverts aux autres.
    La globalisation néolibérale produit un asservissement des hommes à des dogmes abstraits qui ne profitent qu’à une petite minorité. Le retour aux nations, et aux frontières, est un préalable indispensable pour refaire du progrès humain pour tous l’objectif de nos sociétés. Voilà un vrai débat sur l’idée nationale !





    La marche irrésistible du nouvel ordre mondial : destination Babel

    04/12/2009 10:01

    La marche irrésistible du nouvel ordre mondial : destination Babel


    Broché: 165 pages

    Editeur : François-Xavier de Guibert (29 novembre 2007) 

    Collection : ESSAI

    ISBN-10: 2755401990 

    ISBN-13: 978-2755401998 

    Présentation de l'éditeur 

    Toutes les époques ont leur idéologie. Ence début du XXIe siècle, le seul débris qui surnage après un siècle chaotique et tragique, c'est le mondialisme. Dans l'esprit de ses promoteurs, bien au-delà d'une coopération mondiale nécessaire et légitime, il s'agit d'abattre toutes les cloisons, et d'abord nationales, afin d'aboutir d'emblée à ce fameux village global décrit par le sociologue canadien Herbert Marshall Mcluhan. Comme le dit Guy Sorman : Le monde est ma tribu. Le but est de créer de grands blocs géoéconomiques standardisés européens, nord-américains, sud-américains, asiatiques, etc., au sein desquels les nations seront broyées et dont la réunion constituera l'armature d'une gouvernante mondiale. Comme le rappelle Jacques Attali dans son ouvrage Dictionnaire du XXe siècle : Après la mise en place d'institutions continentales européennes, apparaîtra peut-être l'urgente nécessité d'un gouvernement mondial. Ainsi, ces blocs corsetés par la même idéologie et dont les populations auront été au préalable alignées dans leur structure mentale sur les critères édictés au sommet, accoucheront d'une humanité unie, interchangeable et nomade. Cependant, l'aboutissement de ces ambitions longtemps prophétisées devra passer par des étapes bouleversant les structures politico-économiques des sociétés, qui ne seront pas sans conséquences militaires. Dans ces événements, la vie humaine comptera peu. D'ores et déjà, avec la mort probable de la Belgique , les réveils régionalistes en Espagne et en Italie, l'Europe de Bruxelles qui a programmé depuis longtemps la mise sous tutelle, sinon la destruction des nations, risque d'être exaucée dans ses entreprises au-delà de ses espérances. De leur côté, à travers le sanglant bourbier irakien, les Etats-Unis préparent activement la recomposition du Moyen-Orient... La tour de Babel tiendra-t-elle ?






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